Le retour de Dark Vad(eh)or(s)
(C'est comme le retour de Martin Guerre, mais avec un peu moins de Martin Guerre et plus de Dark Vador en somme et en soustraction (mais pas à Amiens)) --> Ouah, ca commence de fort belle facturisation avec du combo de blagues moldaves notées 4 coluches dans le guide 1984 de la gaudriole!
Bref, tout ca pour dire que j'etais apathiquement et larvairement entassé dans mon canapé sans ressorts hier soir en laissant mes arrières pensées déprimantes peu à peu afleurer à la surface de mon conscient quand subitement, pour me changer les idées(point final à la ligne).
Ayant eu pour volonté ponctuelle de tester la sobriété et résistant donc à la tentation obsedante de m'en aller quérir quelqu'alcool salvateur dans la boutique de fourniture de carburant automobile la plus proche, je sentais bien que les pensées noires et celles qui la concernaient, le manque et la solitude me feraient sombrer, au pire dans une folie meutrière entrainant la mort prématurée de tous les vieux peuplant l'immeuble, au mieux dans une tentative d'autodestruction quelconque.
**petit interlude narratif pour alléger le contenu de la prose ci-dessus ainsi que pour laisser au lecteur lambda un peu de quoi rerprendre son souffle**
"-Bonjour monsieur, je voudrais une robe de chambre s'il vous plait?"
"-Bien sûr, quelle est la taille de la chambre?"
Merci Arthur pour cette petite blaguounette hilarante, et bienvenue parmi les grands du rire.
**fin de l'interlude à tendance détentive et comiquatoire**
Donc, ne sachant que faire pour ne pas me laisser submerger par tous les malheurs du monde et les images fabriquées par mon cerveau dépressif et imaginatif qui me laissaient ampathiquement spectateur malheureux et au désespoir de scènes impliquant mon (ex)amoureuse dans des positions auxquelles je ne prenais pas part, je décidai de visionner un film. Après avoir parcouru de fond en comble les tréfonds des octets de mes disques durs, je tombai sur la revanche des sith, film ô combien cultissime pour les djeunz comme moi fans de la saga star warsienne et rêvant de devenir un jedi depuis leur plus tendre enfance.
(note : Bien que peu appréciée par la critique et désavouée par quelques soit disant puristes, je dois dire que la première trilogie est tout de même spectaculaire et bien construite et que c'est cet épisode qui en est le point d'orgue, servant à justifier les quelques longueurs perceptibles dans les deux premiers volumes).
Je tentai alors de me concentrer afin de pouvoir laisser mon esprit se reposer ne serait-ce que le temps du mattage quand la scène ultime s'impose à mon regard : le passage d'anakin skywalker vers le côte obscur.
ET LA! J'AI EU UN PUT*@%! DE FLASH!
ZOMFG, OMAGAD, MAIS, MAIS, ANAKIN SAY MOUA!
Je m'explique: déja, physquement, nous sommes frères jumeaux, ce qui est troublant!
Donc là, à gauche, c'est lui, et à droite c'est moi avant hier quand je faisais une auto séance de photos pour envoyer à connard-pigeon magazine©.
Et lui aussi est tombé du côté obscur à cause d'une femme! Tout pareil que moi.
Maintenant je suis un sale connard sans foi ni loi ni pitié ni croyance, désespéré et malheureux, jaloux et mysogine, tellement que ca m'en rend encore plus agressif et en colère. Tout pareil!
Et ben, je peux dire que je comprends beaucoup de choses maintenant.
Blague à part, depuis elle, j'ai vraiment l'impression d'être aussi passé du côté obscur, et dieu sait que deux ans, putain c'est long (hein Chirac?); une telle métamorphose dans le comportement (le mien) en est troublant mais c'est un fait. Tiens, j'avais prévu de développer ça un de ces quatre ici, mais comme vous avez pu le remarquer, en général je ne fais pas ce que j'avais dit et plutôt dans la spontanéité.
M'enfin, c'est flippant de se dire qu'une tranche de vie puisse aussi radicalement et durablement vous transformer au point que l'on vous fasse la remarque régulièrement et que vous en souffriez.
Phrase du jour : "Il est con l'enemi en face, il croit que c'est moi".
Ps : Et oui, vous l'avez compris, malgré tout l'acharnement que je me mets à tout saboter, à éloigner les gens et à devenir un sans sentiment, j'ai encore bien du mal avec ce dernier point (mais les deux premiers je me défends, pas de souci) Oo
Bref, tout ca pour dire que j'etais apathiquement et larvairement entassé dans mon canapé sans ressorts hier soir en laissant mes arrières pensées déprimantes peu à peu afleurer à la surface de mon conscient quand subitement, pour me changer les idées(point final à la ligne).
Ayant eu pour volonté ponctuelle de tester la sobriété et résistant donc à la tentation obsedante de m'en aller quérir quelqu'alcool salvateur dans la boutique de fourniture de carburant automobile la plus proche, je sentais bien que les pensées noires et celles qui la concernaient, le manque et la solitude me feraient sombrer, au pire dans une folie meutrière entrainant la mort prématurée de tous les vieux peuplant l'immeuble, au mieux dans une tentative d'autodestruction quelconque.
**petit interlude narratif pour alléger le contenu de la prose ci-dessus ainsi que pour laisser au lecteur lambda un peu de quoi rerprendre son souffle**
"-Bonjour monsieur, je voudrais une robe de chambre s'il vous plait?"
"-Bien sûr, quelle est la taille de la chambre?"
Merci Arthur pour cette petite blaguounette hilarante, et bienvenue parmi les grands du rire.
**fin de l'interlude à tendance détentive et comiquatoire**
Donc, ne sachant que faire pour ne pas me laisser submerger par tous les malheurs du monde et les images fabriquées par mon cerveau dépressif et imaginatif qui me laissaient ampathiquement spectateur malheureux et au désespoir de scènes impliquant mon (ex)amoureuse dans des positions auxquelles je ne prenais pas part, je décidai de visionner un film. Après avoir parcouru de fond en comble les tréfonds des octets de mes disques durs, je tombai sur la revanche des sith, film ô combien cultissime pour les djeunz comme moi fans de la saga star warsienne et rêvant de devenir un jedi depuis leur plus tendre enfance.
(note : Bien que peu appréciée par la critique et désavouée par quelques soit disant puristes, je dois dire que la première trilogie est tout de même spectaculaire et bien construite et que c'est cet épisode qui en est le point d'orgue, servant à justifier les quelques longueurs perceptibles dans les deux premiers volumes).
Je tentai alors de me concentrer afin de pouvoir laisser mon esprit se reposer ne serait-ce que le temps du mattage quand la scène ultime s'impose à mon regard : le passage d'anakin skywalker vers le côte obscur.
ET LA! J'AI EU UN PUT*@%! DE FLASH!
ZOMFG, OMAGAD, MAIS, MAIS, ANAKIN SAY MOUA!
Je m'explique: déja, physquement, nous sommes frères jumeaux, ce qui est troublant!
Donc là, à gauche, c'est lui, et à droite c'est moi avant hier quand je faisais une auto séance de photos pour envoyer à connard-pigeon magazine©.
Et lui aussi est tombé du côté obscur à cause d'une femme! Tout pareil que moi.
Maintenant je suis un sale connard sans foi ni loi ni pitié ni croyance, désespéré et malheureux, jaloux et mysogine, tellement que ca m'en rend encore plus agressif et en colère. Tout pareil!
Et ben, je peux dire que je comprends beaucoup de choses maintenant.
Blague à part, depuis elle, j'ai vraiment l'impression d'être aussi passé du côté obscur, et dieu sait que deux ans, putain c'est long (hein Chirac?); une telle métamorphose dans le comportement (le mien) en est troublant mais c'est un fait. Tiens, j'avais prévu de développer ça un de ces quatre ici, mais comme vous avez pu le remarquer, en général je ne fais pas ce que j'avais dit et plutôt dans la spontanéité.
M'enfin, c'est flippant de se dire qu'une tranche de vie puisse aussi radicalement et durablement vous transformer au point que l'on vous fasse la remarque régulièrement et que vous en souffriez.
Phrase du jour : "Il est con l'enemi en face, il croit que c'est moi".
Ps : Et oui, vous l'avez compris, malgré tout l'acharnement que je me mets à tout saboter, à éloigner les gens et à devenir un sans sentiment, j'ai encore bien du mal avec ce dernier point (mais les deux premiers je me défends, pas de souci) Oo